Entre reggae et cocotiers, exploration de dame Dominique !
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Nuit courte, bercée par les rouages du ponton du port, sur lequel nous avons passée la nuit, sous les étoiles pluvieuses de Pointe à pitre. C’est les pensées enfarinées que nous débarquons dans la fourmilière cuisante de Roseau, capitale grouillante de la Dominique. Triste spectacle de pauvreté, parsemée d’effluves de folie.
La côte offre sont spectacle désolant de destruction, Maria a rongée chaque parcelle de vie.
Le cyclone a dévoré la Dominique en Septembre 2017. Une triste vision se dessine sous nos petits yeux de touriste, 9 mois après, les traces de son passage ravageur sont toujours bien là.
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Gravissant les routes escarpées et étroites, s’ouvre à nous l’éblouissante beauté du parc national. Les pics verdoyants de cette incroyable jungle s’élancent fièrement vers le ciel, à perte de vue. Partout des maisonnettes colorées illuminent le vert infini des montagnes. Le spectacle nous laissera bouche bée.
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Les villes sont toujours emplies de vie et de gentillesse. Les notes envoutantes des airs de reggaes résonnent à chaque coin de rue, diffusés généreusement sur d’énormes enceintes. Chaque rencontre est une belle rencontre, le dominicain est simple. Il s’arrête, échange quelques banalités avec toi en fumant sa cigarette, et repart tranquillement, le pas traînant. Un jeune garçon se joindra à nous de bon matin pour une partie de pêche, nous offrant tous ses poissons avant de repartir pour sa sieste. Une vie à reconstruire sans cesse, au rythme des cyclones qui balayent cette vulnérable petite île, mais une vie, qui pourtant paraît si simple pour les Dominicains…
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Pour vous faire une idée, c’est en Dominique qu’a était tourné le film Pirate des Caraïbes !
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